The data can be interpreted in its entirety or partially, depending on the possibilities of the software. Many formats are decipherable, and therefore readable by different software, they are standard formats. Others, on the other hand, are only fully readable by one software, and are therefore called “proprietary formats”.
These formats are in principle all specific but some have data that appear differently depending on the software that processes it (eg PNG). Some formats cover several types of information because they are in fact containers of information that can be coded in different ways. This is the case in graphic design of EPS or PDF files for example. The speciality of the various formats in terms of nature, stored information, interpretation by the software and communication between users makes the choice of the type of file that composes a digital work crucial. The software, although more and more versatile and literally multimedia, have specializations that make them more efficient (possibilities, processing speed, opition, so on..) for a given type of work. It is therefore up to the user to take note of this before starting work. It should be noted that work files and exchange files are not the same. Thus, containers are interesting for transmitting work that is either finalized (not modifiable) or to a recipient who does not have professional software to read the file (e.g., a professional DTP file sent as a PDF to the client for proofreading). A work file, like a drawn research notebook, gathers the previous steps, the elements not used in the final, the modifiable parts, which make the file the creator’s (or the creative team’s). It is never given to the commenditairenor to a technical partner (printer, developer, engineer, project manager.) It is generally non-modifiable (e.g. flattened layers, vectorized fonts) and respects the rules of the art (color prodil, image resolution, so on..)
Les données peuvent être interprétées dans les intégralité comme partiellement selon les possibilités du logiciel. Beaucoup de formats sont déchiffrables, donc lisibles par différents logiciels, ce sont des formats standards. D’autres au contraire ne sont pleinement lisibles que par un seul logiciel, on parle alors de “format propriétaire”.
Ces formats sont en principe tous spécifiques mais certains ont des données qui apparaissent différemment selon le logiciel qui le traite (ex. PNG). Certains formats recouvrent plusieurs types d’informations car ils sont en fait des conteneurs d’informations qui peuvent être codée en différentes manières. C’est le cas en design graphique des fichiers EPS ou PDF par exemple. La spécialité des différents formats en terme de nature, informations stockées, interprétation par le logiciel et communication entre utilisateurs rend crucial le choix du type de fuchier qui compose un travail numérique. Les logiciels, bien que de plus en plus polyvalents et littéralement multimédias, ont des spécialisations qui les rendents plus efficas ( possibilités, rapidité de traitement, opition, etc..) pour un type de travail donné. C’est donc à l’utilisateur d’en prendre note avant de commencer son travail. On notera que les fichiers de travail et les fichiers d’échange ne sont pas les mêmes. Ainsi les conteneurs sont intéressants pour transmettre un travail soit finalisé (non modifiable) soit à un destinataire qui ne dispose pas de logiciels professionnels pour lire le fichier (ex. un fichier PAO professionnel envoyé en PDF au client pour relecture). Un fichier de travail, comme un carnet de recherches dessiné, regroupe les étapes antérieures, les étapes antérieures, les éléments non utilisés au final, les parties modifiable, qui rendent le fichier du créateur (ou de l’équipe de création). Il n’est jamais remis au commenditairenou à un partenaire technique (imprimeur, développeur, ingénieur, maître d’oeuvre.) Il est généralement non modifiable (ex. calques aplatis, police vectorisées) et respecte les règles de l’art (prodil couleurs, résolution des images, etc..)